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L'Orbiter solaire lancera ce week-end sur son voyage pour regarder au soleil

Concept d’artiste du Solar Orbiter (à gauche) et de la sonde solaire Parker (à droite). Dans cette image, j'aime imaginer que la sonde solaire Parker, auparavant seule dans l'espace lointain, est maintenant obligée de contempler sa propre existence pour la première fois en voyant une autre sonde. «L'enfer, ce sont d'autres sondes solaires», pourrait-il conclure.
Image: Solar Orbiter: médialab ESA / ATG; Sonde solaire Parker: NASA / Johns Hopkins APL

Le dimanche, ta Agence spatiale européenne espoirs pour lancer son Solar Orbiter afin de mieux comprendre une étoile que nous connaissons trop peu: le Soleil. Le lancement est prévu à 23h03. ET le 9 février (le flux en direct de NASA TV est intégré ci-dessous).

Comme son nom l'indique, le Solar Orbiter est un cercle solaire satellite, contenant 10 instruments destinés à prendre des mesures autrement difficiles à obtenir des télescopes liés à la Terre. La mission cherche à expliquer comment le Soleil génère l'héliosphère, la région du plasma qui entoure tout le système solaire, dans le but ultime de pouvoir prévoir la la météo spatiale qui a le potentiel d'endommager de nombreux appareils électroniques dont nous dépendons aujourd'hui. Cette sera également la première mission à prendre une photo des pôles du Soleil.

L'ultime orbite elliptique de 150 jours de Solar Orbiter la rapprochera de 26 millions de milles du Sà presque la même distance que la Terre. Le vaisseau spatial reviendra à plusieurs reprises sur Vénus, chaque fois en utilisant le la gravité de la planète pour incliner légèrement son orbite afin d'avoir une vue différente du Soleil, jusqu'à Inclinaison de 17 degrés par rapport au plan dans lequel les planètes orbitent. Si la mission réussit et est poussée dans sa phase étendue, elle augmentera son inclinaison orbitale à 33 degrés, l'angle à partir duquel elle pourra imaginer le Spôles de l’ONU.

Le Solar Orbiter étant intégré dans son carénage de fusée.
Photo: ESA – S. Corvaja

Une suite d'instruments lui permettra de sonder les différentes façons dont le Soleil libère de la matière et de l'énergie. Quatre instruments mesureront directement les émissions du soleil: un détecteur mesurera les particules énergétiques libérées par le soleil, chercher à comprendre comment ces particules s'accélèrent; un magnétomètre mesurera le champ magnétique proche du Soleil; un autre le détecteur mesurera les ondes radio et plasma; et un quatrième mesurera la densité, la vitesse, la température et la composition du vent solaire.

Pendant ce temps, six instruments aà bord du Solar Orbiter mesurera le Soleil à distance. Deux imageurs étudiera la lumière ultraviolette du Sl'atmosphère extérieure de l'ONU, y compris sa couronne, afin de fournir un contexte pour les mesures du vent solaire; un coronographe prendra des images haute résolution de la couronne de 1,7 à 4,1 rayons solaires; un imageur mesurera le champ magnétique et la lumière visible sur le Surface du soleil; un autre imageur produira des images du vent solaire; et un télescope mesurera les propriétés des rayons X du Sun émet.

L'orbiteur solaire doit survivre à la fois à l'extrême headu soleil et du froid extrême des espaces vides, Anne Pacros, responsable de la charge utile à l'ESACentre européen de recherche et de technologie spatiales, dit dans un Sortie de la NASA. Il connaîtra températures allant de -300 à 970 Fahrenheit. La mission est équipée d'un 10-par 8 pieds, écran thermique de 324 livres en feuille de titane super réfléchissante sur l'aluminium, avec des espaces pour que la chaleur s'échappe. Un revêtement de phosphate de calcium empêche le Sle rayonnement de l'ONU qui dégrade le bouclier. Les contrôleurs de la mission doivent s’assurer que le bouclier thermique de la sonde pointe toujours vers le Soleil.

Bien que le Solar Orbiter n'approche pas le Soleil de la même manière que le Parker Solar Probe, une déroutant 3,83 millions de miles, les deux espacesartisanat fonctionner en tandem. La sonde solaire Parker échantillonnera directement la couronne du soleil mais n'a pas les mêmes capacités d'imagerie que le Solar Orbiter. L'orbiteur solaire fournit donc plus de contexte pour les mesures de la sonde solaire Parker, selon un ESA fiche descriptive.

Le lancement de Solar Orbiter est prévu de Cape Canaveral, en Floride, à bord d'une fusée Atlas V 411. La couverture en direct de NASA TV commencera à 22h30. ET dimanche. Si tout se passe comme prévu, la sonde fera son premier passage du Soleil en juin et sa première passe rapprochée en mars 2022.

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