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L’artiste Kent Monkman regrette le «mal» de la peinture suggérant l’agression sexuelle de Trudeau

ATTENTION: cette histoire contient un contenu sexuel graphique que certains lecteurs pourraient trouver offensant

L’artiste cri Kent Monkman s’excuse pour un tableau qui, selon les critiques, représente des femmes autochtones riant de l’agression sexuelle du premier ministre Justin Trudeau.

Le peintre provocateur de Toronto a publié une note sur son Instagram lundi disant qu’il regrettait tout « préjudice » causé à sa communauté « Hanky ​​Panky ».

Le tableau représente un homme ressemblant à Trudeau accroupi à quatre pattes avec ses fesses exposées alors qu’il est entouré d’un groupe de femmes autochtones rieuses, dont deux semblent le retenir.

La pièce a suscité une controverse en ligne peu de temps après sa publication intégrale sur la page Instagram de Monkman samedi dernier avec une légende suggérant que la scène était consensuelle.

Plusieurs critiques interprètent le tableau comme un « viol de vengeance » et s’offusquent du fait que les femmes autochtones, les personnes trans et bispirituelles se réjouiraient de la violence sexuelle, dont elles souffrent à un rythme disproportionné.

Dans ses excuses, Monkman écrit qu’en tant qu’homme bispirituel bispirituel, il a toujours cherché à donner la priorité à la sécurité des sexes marginalisés, mais dit que ce travail a « échoué » à cause de cela.

Le directeur créatif du studio de Monkman dit que l’artiste ne donne pas d’interviews. Le bureau du Premier ministre n’a pas renvoyé immédiatement une demande de commentaire.

Ce rapport de La Presse canadienne a été publié pour la première fois le 21 mai 2020

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