in

Covid-19: ce médicament serait d’une grande aide pour éradiquer le virus

Suite à une étude établie à partir de dix patients, des scientifiques ont conclu que la consommation de famotidine aurait contribué au traitement de Covid-19 de personnes qui n’ont pas été hospitalisées mais soignées à domicile, rapporte la revue spécialisée Gut. Il est pourtant prématuré de tirer des conclusions définitives sur son efficacité.

La prise d’un médicament contenant de la famotidine peut contribuer à améliorer le traitement des patients atteints de Covid-19 qui n’ont pas besoin d’être hospitalisés, selon la conclusion d’un groupe de scientifiques dont l’étude a été publiée dans la revue médicale britannique Gut.

L’étude est fondée sur le suivi de dix patients infectés par le coronavirus qui ont pris de la famotidine. Ce médicament est à l’origine utilisé contre les brûlures d’estomac.

A lire aussi: Des chercheurs britanniques affirment que l’hydroxychloroquine est “inutile” contre le COVID-19

Les chercheurs ont évalué la sévérité des cinq principaux signes de la maladie, à savoir la toux, l’essoufflement, la fatigue, les maux de tête, la perte de goût et d’odorat, afin d’établir la dose à prescrire. Ils ont souligné que le plus souvent, les patients ont pris une dose de 80 milligrammes trois fois par jour pendant en moyenne 11 jours. Selon l’étude, la famotidine a été bien tolérée par les patients.

Les 10 patients ont indiqué que leur état de santé avait commencé à s’améliorer dès le début de la prise du médicament. L’évaluation totale des symptômes s’est considérablement améliorée au cours des premières 24 heures.

Les chercheurs ont toutefois tenu à préciser qu’il était impossible de confirmer l’efficacité de la famotidine en raison de l’insuffisance des données disponibles.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

GIPHY App Key not set. Please check settings

    Val-de-Marne: un homme placé en garde à vue pour torture et viol sur sa compagne

    Mélenchon juge les syndicats de police « indignes », Abad s’inquiète d’une « haine antiflics »