EDMONTON – Les grizzlis font de leur mieux pour s’entendre avec les gens, mais ce n’est toujours pas suffisant.
Recherche récemment publiée l’évaluation de plus de 40 ans de données conclut que sans de grandes zones sauvages pour reconstituer leur nombre, les ours disparaîtraient des paysages qu’ils partagent avec les humains.
Le document a révélé que les ours dans les régions peuplées de l’Alberta et de la Colombie-Britannique ont même changé leur façon de chasser, passant d’une activité diurne à une activité plus nocturne.
Cela aide à garder plus de grizzlis en vie.
Mais l’étude indique que le taux de mortalité est encore si élevé que la seule raison pour laquelle les ours existent encore dans ces régions est que les jeunes ours y immigrent depuis des endroits plus reculés.
Ces ours doivent réapprendre à vivre avec les humains, ce qui fait plus de morts.
L’auteur principal, Clayton Lamb, de l’Université de l’Alberta, affirme que même les communautés les plus conscientes des ours ont du chemin à parcourir avant de pouvoir vivre avec des ours de façon durable.
Ce rapport de La Presse canadienne a été publié pour la première fois le 7 juillet 2020
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