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Brahim Ghali est dans de beaux draps en Espagne !

La grogne et l’indignation commencent à tonner en Espagne à l’encontre du Gouvernement socialiste espagnol pour avoir autorisé l’accès sur son sol pour des raisons supposées humanitaires de Brahim Ghali alors qu’il est recherché par la justice pour de graves crimes, dont ceux de génocide et d’actes terroristes.

Cerise sur le gâteau pour le criminel Brahim Ghali, le Magistrat madrilène Santiago Pedra Gomez a émis un ordre d’audition de Brahim Ghali ainsi que d’autres membres significatifs du polisario pour être interrogés dès ce 05 mai 2021 et ce, suite à une plainte déposée par El Fadel Breika pour enlèvement, détention arbitraire et tortures.

Le Juge a également demandé l’audition de Sid Ahmed El Batal, un haut sécuritaire polisarien des camps sahraouis de la mort sis à Tindouf. Quant à Bachir Mutsapha Sayed, pressenti par les militaires algériens pour remplacer Brahim Ghali à la tête de la pseudo RASD et du polisario, également concerné par cette enquête, il sera entendu le 07 mai 2021.

Rappelons que le chef des terropolisariens, Brahim Ghali, est poursuivi, entre autres, par l’Association Sahraouie de Défense des Droits de l’Homme (ASADEH) et par l’Association Canarienne des Victimes du Terrorisme (ACAVITE) et fait aussi l’objet de poursuites à titre individuel. C’est ainsi le cas de Khadijatou Mahmoud, une jeune Sahraouie qui l’accuse de l’avoir violée en 2010, au siège de l’ambassade de la pseudo RASD, à Alger.

Brahim Ghali, alias Mohamed Benbatouche, a été hospitalisé en Espagne, le 21 avril 2021, dans un hôpital de Logrono, non loin de Saragosse, en Espagne sous le nom d’emprunt de Mohamed Benbatouche, de nationalité algérienne et détenteur d’un passeport diplomatique algérien, afin d’échapper àux poursuites de la justice espagnole.

Le hasard fait donc parfois bien les choses. Le travail de la Justice espagnole risque d’en ajouter davantage à l’embarras de Brahim Ghali et des autorités de l’Exécutif espagnol, qui lui avaient permis de fouler leur sol sous une fausse identité et de bénéficier, de surcroît, de soins médicaux au frais du contribuable.

L’ordonnance du magistrat est là et qu’on n’aille pas nous dire que la justice espagnole n’arrive pas à localiser Brahim Ghali. Elle sait qu’il se terre à l’hôpital San Pedro de Logrono et son état de santé permet de l’interroger. Le polisario ne cesse-t-il pas de marteler, dans de multiples communiqués, que son chef se porte comme un charme ?

L’accueil par l’Espagne du polisarien Brahim Ghali, sous une fausse identité algérienne et un passeport diplomatique algérien sous un faux nom, en coordination avec l’Etat algérien, a entraîné de vives réactions de réprobation et de condamnation à travers le monde. Madrid est accusé d’aider un criminel de guerre à s’extirper des mains de la justice et de cautionner ses actes.

C’est un rebondissement qui pourrait coûter cher à Brahim Ghali, ce malade devenu encombrant pour l’Espagne et l’Algérie et ce, alors qu’une procédure vient d’être engagée pour que ce terropolisarien et assassin en puissance ne puisse quitter l’Espagne avant d’être auditionné par la justice espagnole.

A noter que le Parti Populaire espagnol compte s’emparer de cette affaire, une fois les élections régionales de Madrid du 04 Mai 2021 passées, mais sous l’angle de la fausse identité avec laquelle il a pu entrer sur le territoire espagnol.

Le Gouvernement socialiste espagnol et leurs compères algériens sont bel et bien aujourd’hui dans de sales draps ! Il leur est fortement conseillé de reprendre en cœur la chanson de nino Ferer titrée « Mirza » afin de se réconforter mutuellement !

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