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Deux adolescentes de 14 et 15 ans tuent un chaffeur d’Uber et lui arrache sa voiture

Une jeune fille de 14 ans a participé au détournement de voiture d’un chauffeur d’Uber Eats, décédé après s’être accroché à sa propre voiture en circulation.

L’adolescent, qui n’avait que 13 ans à l’époque, a plaidé coupable au meurtre au deuxième degré de Mohammad Anwar, 66 ans, père de trois enfants et a été condamné à sept ans de prison.

M. Anwar a été laissé pour mort près de l’épave de son propre véhicule après que l’adolescente et sa complice X, âgée de 15 ans, se soient enfuies.

Sur une vidéo enregistrée par la caméra de surveillance,  on peut voir la Honda noire sur le côté, dans le sud-est de Washington DC, aux États-Unis, vers 16h30 le mardi 23 mars.

Alors que M. Anwar gisait mourant dans la rue, les deux adolescentes sont facilement sorties de l’épave et ont même essayé de s’enfuir.

La vidéo a également enregistré certains des derniers mots prononcés par M. Anwar, qui dit « C’est ma voiture! ».

Le vidéo filmée d’une un téléphone portable commence avec M. Anwar debout à côté de la voiture garée, essayant apparemment de faire sortir l’un des adolescentes du volant tandis que l’autre, vêtu de rose, peut être vu sur le siège passager.

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« Ce sont des voleurs ! » on peut l’entendre crier alors qu’il se débat avec l’adolescente sur le siège passager.

Quelques secondes plus tard, avec la porte du conducteur ouverte et avec M. Anwar à moitié dans le véhicule, la voiture accélère.

La voiture glisse sur le côté d’une barrière métallique et d’un lampadaire à proximité, ce qui fait claquer violemment la porte du conducteur ouverte contre le corps de M. Anwar.

La voiture descend ensuite le pâté de maisons et hors de vue, tournant un coin avant les bruits d’un accident.

La jeune fille de 14 ans passera sa peine de sept ans dans un centre de détention pour mineurs.

La fille plus âgée, qui avait 15 ans à l’époque, a plaidé coupable de meurtre et a été condamnée le mois dernier à la même peine.

D’autres accusations portées contre les filles ont été abandonnées dans le cadre de leurs accords de plaidoyer avec les procureurs.

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