En 2013 et 2014, le couturier avait voulu « bousculer » l’art de la revue en lançant les « Mugler Follies » dans un théâtre parisien, transformé en cabaret. Danseuses singulières de la filiforme au modèle Botero, ventriloques, cantatrice, chanteuse de fado, acrobates, numéros de force inédits: cela faisait « longtemps » qu’il voulait monter une revue, « un art libre, de joie de vivre et d’échange, sans message, où tout est possible« , avait-il à l’époque confié à l’AFP. « La mode ne me manque pas vraiment« , expliquait-il alors. « Je fais beaucoup plus maintenant : de l’architecture, du design, monter une revue, mettre en scène… Quand j’étais couturier, c’était une mise en scène journalière proposée à des clientes. Maintenant, c’est une narration, une histoire, des shows,…
CLIQUEZ ICI POUR LIRE LA SUITE