En décembre dernier, coup de tonnerre dans la natation française. Yannick Agnel reconnaît devant les enquêteurs avoir eu, en 2016, des rapports sexuels avec la jeune N., alors âgée de 13 ans (elle en a aujourd’hui 19). Mais il conteste avoir exercé la moindre contrainte. À l’époque, la loi (qui a été modifiée depuis*) définissait le viol comme « tout acte de pénétration sexuelle commis par violence, contrainte, menace ou surprise ». Cette loi précisait que « la contrainte morale peut résulter de la différence d’âge ».
« C’est ce cas de figure qu’a retenu le juge, nous explique la procureure de Mulhouse, Edwige Roux-Morizot. Yannick Agnel avait 24 ans, soit onze ans de plus que la victime. » La procureure évoque
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