C’est une affaire peu banale qui a été audiencée devant le tribunal correctionnel. Les faits de violences conjugales datent de février 2022, le jour même du mariage du prévenu et de la victime.
Les deux protagonistes les connaissent depuis l’arrivée de monsieur sur le territoire Français en 2016 (il fait d’ailleurs l’objet d’une Obligation de quitter le Territoire Français (OQTF) et ont un enfant de trois ans. L’homme a été placé sous contrôle judiciaire avant de se retrouver en centre de rétention, son retour en Tunisie semble être effectif.
La police a donc été appelée le 13 février, lendemain du mariage comme l’a expliqué la présidente du tribunal : « Ils se sont mariés le 12 février et au cours de la fête, il aurait « pété les plombs » parce qu’il pensait et il l’a expliqué « qu’elle parlait à un ami avec les yeux », qu’il lui aurait ordonné de baisser en lui pinçant très fortement le bras pendant de longues minutes, lui occasionnant un hématome ».
La fête s’est donc arrêtée là et la mariée est rentrée chez elle où son tout juste mari l’a rejointe plus tard pour mieux l’insulter durant ce qui aurait dû être une nuit de noces. Il lui donne un coup de tête au passage.
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