Renversé vendredi par des militaires, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba n’aura passé que huit mois à la tête du Burkina Faso, rapidement rattrapé par les attaques jihadistes qui n’ont pas faibli dans le nord et l’est du pays.
Ce soldat de terrain, spécialiste de la lutte antijihadiste, avait assuré faire de la sécurité sa priorité.
Régulièrement, après les attaques les plus meurtrières, il se rendait auprès des soldats ou des populations endeuillées, appelant « à continuer le combat » face aux groupes armés liés à Al-Qaïda et à l’Etat islamique.
Le 12 septembre dernier, il avait…
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