Accusé depuis vendredi 17 mars par la Cour pénale internationale (CPI) de crime de guerre pour la «déportation» de milliers d’enfants en Ukraine, le président russe Vladimir Poutine a néanmoins peu de chances d’être arrêté.
Une action à la portée symbolique. Accusé depuis vendredi 17 mars par la Cour pénale internationale (CPI) de crime de guerre pour la «déportation» de milliers d’enfants en Ukraine, le président russe Vladimir Poutine a néanmoins peu de chances d’être arrêté.
La Russie a retiré sa signature du Statut de Rome en 2016, la privant de son statut de membre de la CPI,…
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