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Darmanin dénonce la violence de « casseurs » issus de « l’extrême gauche »

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a dénoncé jeudi la violence de « casseurs » issus de « l’extrême gauche », après les violences ayant éclaté en France en marge des manifestations contre la réforme des retraites.

« 1.500 casseurs » étaient présents à Paris pour « casser du flic et des bâtiments publics », a dit le ministre de l’Intérieur, qui s’exprimait depuis la préfecture de police de Paris.

A ce stade, il y a 172 interpellations en France, dont 77 à Paris, dont certaines pour des « attaques contre des personnes dépositaires de l’autorité publique » ou des « incendies », a-t-il ajouté.

Beaucoup d’interpellés sont « jeunes », « beaucoup sont connus » comme appartenant à « l’ultra-gauche », a-t-il encore en dénonçant « la bordélisation souhaitée par une partie de l’extrême gauche », qui « ne gagnera pas ».

Vers 22H00, 140 feux avaient été recensés dans la capitale, dont « une quarantaine » en train d’être éteints, a-t-il ajouté.

A cette heure, 149 policiers et gendarmes ont été blessés, certains « gravement », a-t-il regretté, en évoquant des jets « d’acide, de cocktails molotov, de pavés », contre les forces de l’ordre.

Les dégradations ayant eu lieu « sont très importantes, beaucoup plus que les journées précédentes », a encore dit M. Darmanin, dénonçant notamment les dégradations de « bâtiments publics » à Bordeaux où le porche de la mairie a été brièvement incendié ou à Lorient (Morbihan) où un commissariat a été pris pour cible.

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