La Suisse romande avait des « années de retard » dans la prise en charge des personnes dangereuses souffrant de troubles psychiques avant l’assassinat d’Adeline il y a dix ans, selon le directeur médical de Curabilis. Et il existe encore « une marge pour faire mieux ».
« A posteriori, on peut faire une critique impitoyable de ce qui s’est passé », commente…
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