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À quoi s'attendre de l'immigration canadienne en 2024

1. Entrée express

Entrée express reste le principal moyen de déménager au Canada en 2024.

Le système phare de sélection permet de contrôler les candidatures aux principaux programmes fédéraux : Travailleur Qualifié Fédéral, Catégorie de l'expérience canadienne et Métiers spécialisés fédéraux.

Le Canada prévoit d'accueillir 110 770 immigrants fédéraux hautement qualifiés en 2024, contre 83 000 en 2023, selon le dernier rapport. Plan des niveaux d'immigrationpassant à 117 500 en 2025 et 2026.

Des tirages au sort spécifiques aux professions ont été introduits en 2023 et devraient s'étendre en 2024. Les soins de santé, les STEM, les métiers, les transports, l'agriculture et l'alimentation – ainsi que les francophones – ont tous fait l'objet de tirages ciblés en 2023.

Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada a le pouvoir d'ajouter ou de supprimer des catégories en 2024, mais il est plus probable qu'il poursuive la même démarche après avoir identifié les domaines présentant les plus grandes pénuries.

Cela pourrait signifier que les tirages au sort de tous les programmes passent davantage au second plan, car les responsables préfèrent être plus ciblés sur les personnes qu'ils invitent.

La seule certitude est que, avec un objectif aussi élevé à atteindre, le record du nombre d'invitations sur une année civile devrait être battu cette année.

2. Programme des candidats des provinces

La force combinée du Canada Programmes des candidats des provinces les verra accueillir presque autant de nouveaux arrivants que la classe fédérale hautement qualifiée en 2024.

Le Canada prévoit d'accueillir plus de 110 000 nouveaux arrivants grâce aux neuf programmes d'immigration provinciaux (et deux territoriaux). Le Québec est considéré comme distinct de cela.

De la Colombie-Britannique à l'ouest, en passant par les provinces des Prairies de l'Alberta, de la Saskatchewan et du Manitoba, jusqu'à l'Ontario et les provinces du Canada atlantique de la Nouvelle-Écosse, du Nouveau-Brunswick, de Terre-Neuve-et-Labrador et de l'Île-du-Prince-Édouard, il existe des milliers de places pour l'immigration au Canada en 2024. .

Certaines parties du PNP alimentent également Entrée express, ce qui signifie que chacun des programmes provinciaux mentionnés ci-dessus comporte des volets spécifiques pour le système de sélection géré par le gouvernement fédéral.

Les provinces sont prêtes à sélectionner des immigrants spécifiques à leurs besoins économiques. Les candidats devraient consulter les listes et les filières de professions cibles, car les priorités provinciales et fédérales diffèrent.

Ils sont également plus agiles et sujets au changement que les programmes fédéraux, capables d'identifier les pénuries ou les catégories d'immigrants dont ils ont besoin pour prospérer dans leur économie individuelle.

3. Québec

Québec Il s'agit d'un pays à part dans la mesure où il contrôle totalement son flux d'immigration économique.

On a beaucoup parlé des efforts déployés par le puissant gouvernement provincial du Québec pour garantir que tous les immigrants accueillis dans la province soient francophones.

François Legault, chef de la Coalition Avenir Québec, estime que la langue française est essentielle à la préservation de la culture québécoise et s'efforce de limiter le nombre de nouveaux arrivants dans la province à environ 50 000 au total, dont 33 000 grâce à des programmes économiques.

Reste à voir comment se déroulera la politique de Legault consistant à continuer de limiter l'immigration, alors que la province est en proie à une pénurie chronique de main-d'œuvre.

Le Québec peut-il attirer suffisamment de nouveaux arrivants francophones pour permettre à l’économie provinciale de prospérer ? Comme les travailleurs temporaires de la province devraient également apprendre le français, cela signifie que le Québec n'est plus une option pour beaucoup.

Le Programme d'immigration des investisseurs du Québec a également été relancé avec un nouvel ensemble d'exigences le 1er janvier. Les exigences remaniées comprennent une exigence linguistique renforcée, une exigence de résidence obligatoire et une exigence de permis de travail temporaire.

4. Programmes pilotes pilotés par les employeurs

Le Canada gère également un certain nombre de programmes pilotes dirigés par les employeurs et ciblant des domaines spécifiques de l'économie ou des régions souffrant de pénuries chroniques de main-d'œuvre.

Au premier rang de ceux-ci se trouve le Programme d'immigration de l'Atlantiquequi a commencé sa vie en tant que pilote mais est depuis devenu permanent.

Couvrant les quatre provinces atlantiques de la Nouvelle-Écosse, du Nouveau-Brunswick, de Terre-Neuve-et-Labrador et de l'Île-du-Prince-Édouard, le PIA dispose d'une allocation de 6 500 places pour les travailleurs qualifiés et les immigrants diplômés internationaux en 2024.

10 875 nouveaux arrivants supplémentaires doivent être accueillis via les autres filières : le Projet pilote agroalimentairele Projet pilote d'immigration rurale et du Nord et le Projet de voies de mobilité économiqueainsi que les programmes pour les aidants, traités séparément ci-dessous.

Tous ces programmes sont dirigés par les employeurs, ce qui signifie qu’ils ne peuvent pas être appliqués directement. Un employeur identifie un besoin, trouve un immigrant pour répondre à ce besoin et utilise le programme pour amener ce candidat au Canada.

5. Projets pilotes pour les soignants

Les deux Canadiens programmes pour les aidants naturels pour demander la résidence permanente rouverts le 1er janvier : le projet pilote des prestataires de services de garde en milieu familial et le projet pilote des aides de soutien à domicile. Le quota annuel est de 5 500.

L'immigration par le biais du volet en 2024 tombe sous l'objectif de 10 875 nouveaux arrivants mentionné ci-dessus pour les programmes pilotes.


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