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Après le renvoi de Tariq Ramadan devant la cour criminelle, le tâtonnement de la justice au cœur des réactions

Tariq Ramadan n’échappera pas à un procès. Ce jeudi 27 juin, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris a confirmé le renvoi de l’islamologue suisse devant la cour criminelle départementale pour viol. Tout l’enjeu de cette décision était de connaître le curseur des charges retenues à son encontre, fluctuantes au gré des différentes lectures du dossier.

Les magistrats de la cour d’appel ont finalement décidé de retenir le cas de trois des quatre femmes qui le mettent en cause. Seule Mounia Rabbouj, une ex escort-girl qui l’accuse de neuf viols entre 2013 et 2014, a été écartée. La défense du prédicateur entend se pourvoir en cassation, l’ultime possibilité qui lui reste pour s’éviter une comparution publique.

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