Il échappe ainsi un peu mieux à notre immunité, et c’est probablement à cause de cela que nous connaissons une évolution à la hausse même s’il n’est pas considéré comme plus dangereux que ces prédécesseurs.
Au niveau bactériel, on voit que la coqueluche reste bien présente »
« On assiste à une hausse constante depuis le mois de juin, indique Steven Van Gucht, virologue chez Sciensano. On peut dire qu’on est rentré dans une petite vague d’été mais qui reste toutefois inférieure à la vague connue pendant l’hiver. En général, ce sont des infections assez légères mais il faut quand même dire qu’il y a des patients qui doivent aller à l’hôpital et qui ont besoin d’oxygène, surtout chez les personnes âgées et…
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