« 2014 est une date clé parce que mon dernier fils est né à la même période », nous rappelle Vincent Vosse, le patron de l’équipe. « Dix ans, c’est long mais on doit se dire qu’on a toujours eu la chance de se battre devant. Il nous a manqué à chaque fois un petit déclic de réussite. Parfois, nous avions tout bon, comme en 2021 où nous faisions la course parfaite. Et pourtant, Alex Pier Guidi et sa Ferrari nous ont dépassés à l’extérieur à Blanchimont en vue de l’arrivée, sous la pluie. Il y avait une chance sur un million qu’on se fasse passer à cet endroit dans des conditions aussi extrêmes. Parfois, les 24 Heures se jouent sur un coup de poker stratégique. On tente un pari et on prie pour qu’il aboutisse. Et il faut également que les voitures soient bien balancées. »
Les Porsche sont devant et ont encore une marge de plusieurs dixièmes de seconde par…
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