Dans les colonnes de Challenges, l’économiste Christian Gollier a récemment mis en garde contre le risque que l’action climatique outrepasse la rationalité économique. Il déplore « l’absence de volonté de quantifier les coûts et bénéfices sociétaux des actions vertes comme si le climat autorisait à sortir de la rationalité et des lumières ». Mais, en la matière, n’est-ce pas, au contraire, la soumission à ce calcul coût-bénéfice érigé en maître à penser, quand il devrait rester un outil, qui freine l’action écologique ?
Il ne faut pas surestimer la portée de l’exercice consistant…
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