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Flore et fils, mon animal

(Dans le sens des aiguilles d’une montre à partir du bas à gauche 🙂 Aller à l’université dans Mariachi, Flora And Son, mon animal (Avec l’aimable autorisation du Festival du film de Sundance)
Graphique: Le club audiovisuel

Avec la plupart des grandes premières derrière lui, le Festival du film de Sundance 2023 passe à une vitesse inférieure avant son dernier jour le 29 janvier. Ceux qui ont encore des bottes de neige au sol organisent plusieurs projections chaque jour, rejoints par les habitants de Park City et les bénévoles du festival qui travaillent dur. Anna Camp, Jane Levy et Will Pullen faisaient partie de ceux qui faisaient la promotion du film d’Angus MacLachlan. Une petite prière, et Ben Whishaw, fraîchement sorti de son autre première à Sundance Mauvais comportements’est présenté pour soutenir le grand retour d’Ira Sachs à Sundance, passages.

Dans l’actualité des acquisitions, passages recevra distribution de Mubitandis que Une petite prière est allé à Sony Pictures Classics et A24 ajouté à sa liste déjà bien remplie avec le film d’horreur buzzy de Danny et Michael Philippou Parle-moi. flore et fils a été acquis par Apple TV+, le premier streamer à remporter l’Oscar du meilleur film, pour CODA– le premier titre de Sundance à remporter ce prix. L’une des premières de cette année pourrait-elle être le champion des récompenses de la saison prochaine? Lisez la suite pour des critiques de capsules pour flore et fils et deux autres films à mettre sur votre radar.

flore et fils

flore et fils

flore et fils
Image: Avec l’aimable autorisation du festival du film de Sundance

Réalisateur : John Carney

Avec : Eve Hewson, Joseph Gordon-Levitt, Orén Kinlan, Jack Reynor

La dernière ode de John Carney au pouvoir de la musique, flore et fils est peut-être le film le plus conventionnel proposé au Festival du film de Sundance de cette année, et ce n’est en aucun cas une marque contre lui. Les participants qui traversent Park City enneigée de drame artistique en drame artistique apprécient sûrement son étreinte chaleureuse, et il en sera de même pour le public ailleurs lorsqu’il deviendra inévitablement une sortie instantanément appréciée. Mettant en vedette une Eve Hewson irrésistiblement charmante dans le rôle d’une jeune mère irlandaise élevant son fils délinquant (Orén Kinlan) et découvrant ses instincts musicaux innés grâce à un professeur de guitare virtuel (Joseph Gordon-Levitt), c’est le genre de film conçu pour générer des sourires d’une oreille à oreille.

Il y a beaucoup d’aigre mélangé avec le sucré, surtout grâce à l’intensité grossière de Hewson, et les chansons originales de Carney et Gary Clark sont à tomber par terre. Vous savez cette chose où un film musical doit inclure un montage d’écriture de chansons, et la grande révélation de cette chanson doit servir de point culminant émotionnel à toute l’histoire? Avec flore et filsaimer Une fois que avant cela, il ne fait aucun doute que la performance musicale qui en résultera procurera le bien-être et vous fera applaudir au générique. [Jack Smart]

Aller à l’université dans Mariachi

Aller à l'université dans Mariachi

Aller à l’université dans Mariachi
Image: Avec l’aimable autorisation du festival du film de Sundance

Réalisateurs : Alejandra Vasquez et Sam Osborn

Cela peut ressembler à un compliment détourné, mais Alejandra Vasquez et Sam Osborn Aller à l’université dans Mariachi est un documentaire parfaitement plaisant. Sans doute construit dans l’esprit des docs sportifs outsiders (bien que celui-ci ne se concentre pas sur l’athlétisme mais sur les compétitions de mariachi au lycée), ce doc du sud du Texas porte son cœur sur ses manches magnifiquement pressées. Tourné au cours d’une année scolaire, ce film chaleureux suit Mariachi Oro de l’Edinburg North High School alors qu’il répète et participe à divers essais de mariachi. En cours de route, Vazquez et Osborn nous présentent plusieurs de ses membres qui doivent jongler avec leur vie quotidienne avec l’engagement souvent exténuant qu’exige la pratique du mariachi.

Certaines de ces intrigues (y compris celle du professeur à la tête de l’ensemble de mariachi) sont plus captivantes pour leur familiarité et leur banalité que pour toute autre chose ; les rythmes bien rodés ici ressemblent moins à un échec qu’à tout le point. Pour Aller à l’université dans Mariachi est une célébration d’une culture musicale qui, comme le doc nous le rappelle à maintes reprises, permet depuis longtemps aux adolescents du sud du Texas de trouver leur voix à travers la musique de leur culture. [Manuel Betancourt]

Mon animal

Mon animal

Mon animal
Image: Avec l’aimable autorisation du festival du film de Sundance

Réalisatrice : Jacqueline Castel

Avec : Bobbi Salvor Menuez, Amandla Stenberg, Stephen McHattie

Peint dans des bandes de lumière rouge intense et de paysages hivernaux maussades, le film d’horreur romantique imprégné des années 80 de Jacqueline Castel Mon animal est une entrée discrète dans le programme « Midnight » de Sundance, mais néanmoins convaincante. Mettant en vedette Bobbi Salvor Menuez et Amandla Stenberg, le film suit Heather (Menuez), une gardienne de but de hockey garçon manqué qui a le béguin pour le patineur artistique Jonny (Stenberg) ainsi qu’un dangereux secret : elle est un loup-garou. Alors qu’elle navigue entre ses sentiments naissants et une communauté soudée réticente à embrasser l’homosexualité, Heather lutte pour garder Jonny à l’abri de son côté le plus sombre alors que la lune de sang approche lentement.

Bien que le script puisse sembler souvent clairsemé et que la direction laisse à désirer, Mon animal persévère néanmoins comme un drame sensuel et queer qui tire une inspiration intéressante des thrillers érotiques et de l’horreur classique, et de la romance gothique majuscule-G majuscule-R. Basé sur une performance englobante de Menuez, Mon animalLes forces thématiques et esthétiques compensent la direction sans but. [Lauren Coates]

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