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« Ce n’est pas celui que je suis », affirme Zverev après des accusations de violences conjugales

L’Allemand Alexander Zverev, accusé de violences conjugales par une ancienne petite amie, a de nouveau nié les faits, affirmant qu’il n’est pas l’homme qu’elle dépeint, vendredi lors d’une conférence de presse avant le début du Masters de Londres.

« Nous avons eu des hauts et des bas, mais la manière dont notre relation est décrite ne correspond pas à ce qu’elle était. Ce n’est pas celui que je suis, ce n’est pas la façon dont j’ai été élevé par mes parents », a déclaré le 7e joueur mondial du tennis.

« Cela me rend triste de voir l’impact que de telles fausses accusations peuvent avoir sur le sport, sur le monde extérieur, sur moi-même aussi. Je m’excuse sincèrement que l’attention se soit détournée du sport. Nous aimons tous jouer au tennis. C’est pour cela que nous sommes ici », a poursuivi l’Allemand de 23 ans, deux jours avant le début du Masters de fin d’année, confirmé à huis clos du 15 au 22 novembre.

Fin octobre, une de ses ex-compagnes, Olga Sharypova, l’avait accusé de lui avoir fait subir plusieurs épisodes de violences physiques et psychologiques pendant leur relation entamée en septembre 2018.

Déjà interrogé à ce sujet à plusieurs reprises la semaine passée lors du Masters 1000 de Paris, l’Allemand s’était borné à renvoyer à un communiqué initial publié sur les réseaux sociaux, dans lequel il affirmait que ces allégations étaient « infondées » et répétait ses dénégations. Il avait affiché sa sérénité après sa défaite en finale contre le Russe Daniil Medvedev et affirmé qu’il gardait « un large sourire » sous son masque.

Alexander Zverev affrontera Medvedev (N.4) lundi pour son premier match du Masters de Londres.

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